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LA DYSPLASIE 

Une radiographie destinée à une lecture officielle pour recherche de dysplasie coxo-fémorale doit présenter des caractéristiques bien précises et indispensables :
Qualité technique du cliché (contraste, définition)
Position du chien permettant de constater :
  1. Symétrie (vérifiée par la symétrie des trous ovales) et extension du bassin
  2. Parallélisme strict des fémurs
  3. Extension et rotation interne des fémurs avec rotules bien Centrées Sur les genoux conditions impératives pour une bonne exposition des têtes et cols fémoraux

Identification du cliché par un marquage indélébile dans la gélatine. au moment de la Prise du cliché, et non surajouté par gravure ou écriture, et mentionnant

  • Nom du vétérinaire radiologue
  • Nom. numéro de tatouage Ou d’identification électronique et numéro de LOF (lu Chien
  • Race et sexe
  • Date de naissance et date de l'examen
  • Côtés droit et gauche

NB : il est possible de procéder à l’identification infalsifiable du cliché en plaçant un petit feuillet de papier mentionnant les diverses indications au stylo bille, plié en deux, dans le coin de la cassette, et prenant le film en sandwich, avant la prise du cliché : le marquage est ainsi obtenu au développement du film.
La radiographie est accompagnée d'une attestation du vétérinaire certifiant qu'il a vérifié personnellement le numéro de tatouage ou le numéro de puce électronique, et les modalités de la tranquillisation ou de l’anesthésie, s’il y a lieu.
Ces conditions sont impératives et correspondent à des normes internationales : un Positionnement imparfait du chien ou un marquage Surajouté interdisent l'interprétation de la radiographie.

Les radiographies sont à envoyer :

Docteur FONTAINE clinique Anne de Bretagne 5 allée des Tanneurs 44000 NANTES

LA DYSPLASIE DE LA HANCHE (source: chien.com)

Le fémur possède une tête qui s'emboîte dans la cavité glénoïde du bassin.

Elle y est maintenue grâce à une capsule fibreuse tout autour de l'articulation, par les muscles de la région (les fessiers entre autres) et par un ligament dit ligament de la tête, qui la fixe au fond de la cavité glénoïde.
Lors de dysplasie de la hanche, il existe une laxité excessive du ligament de la tête, et celle-ci se « promène » alors anormalement dans sa cavité.
A plus ou moins long terme, ce mal-fonctionnement va déboucher sur l'apparition progressive d'arthrose, et d'une déformation de la cavité.

Importance de la maladie
Elle est rencontrée chez de nombreuses races de chien qu'on ne pourra pas toutes citer: ce sont principalement des chiens de races moyenne et grande.
Parmi les plus fréquentes, on peut citer: les retrievers (labradors et goldens), la plupart des bouviers et bergers, le chow-chow, le rottweiler, le terre-neuve, le staffordshire terrier, le bull-mastiff…
Jusqu'à 20% et plus des chiens de certaines races sont atteints.
S'il ne fait aucun doute que la transmission est héréditaire, les facteurs d'élevage sont également important dans l'apparition de la maladie: une alimentation de bonne qualité, bien équilibrée, en minéraux en particulier (calcium et phosphore), est importante lors de la croissance de ces chiens de grand format.
De même qu'un excès d'exercice et des traumatismes articulaires chez des jeunes chiots peuvent favoriser l'apparition de troubles de la croissance tels que la dysplasie de la hanche.
Le mode de transmission génétique de la maladie est complexe et il est difficile de dépister la maladie de bonne heure. L'éradication du problème demande donc beaucoup de temps et d'effort de la part des éleveurs et de la société centrale canine (SCC).

Les signes de la maladie
Il est difficile de dépister les premiers signes de la maladie.
Chez les jeunes chiots, on pourra d'abord remarquer une démarche bizarre, chaloupée (le chien dandine du train arrière). Toutefois, de nombreux chiots présentent cette démarche, qui ne présume pas d'une quelconque évolution vers un problème grave.
Les premières douleurs peuvent apparaître vers l'âge de 6 à 8 mois, mais elles peuvent également passer inaperçues et se résoudre rapidement.
Les signes d'appel sont ensuite ceux dus au développement plus ou moins précoce d'arthrose. Le chien présente une boiterie, principalement à froid, c'est-à-dire le matin ou après être resté longtemps couché. Les signes et le développement de l'arthrose sont toutefois très variables d'un chien à l'autre: certains chiens présentant une dysplasie très importante (grande laxité articulaire) ne développeront pas d'arthrose avant cinq ou six ans, alors que d'autres présentant un léger défaut seront atteints très tôt et de façon intense.

Le diagnostic
Le vétérinaire peut suspecter cette maladie chez un chien par un examen rapproché des membres. Le diagnostic de certitude est posé grâce à la radiographie. Cette radiographie est réalisée après l'âge de un an 18 mois chez les races géantes comme le dogue allemand), car avant, on risque de ne pas détecter la maladie.
Le chien est alors classé parmi les cinq catégories, allant de A à E, A étant l'absence de dysplasie et E la forme la plus avancée (la tête du fémur est alors complètement luxée). De nombreux clubs de races pratiquent un dépistage systématique de cette affection par des radiographies précoces.

Le traitement
Comme nous l'avons dit plus haut, les signes de la maladies sont liés à l'apparition d'arthrose, qui entraîne une douleur de l'articulation. Le traitement peut être médical ou chirurgical. Le traitement médical consiste en l'administration d'anti-inflammatoires qui soulagent la douleur.
Il existe également aujourd'hui de nombreux traitements dits chondro-protecteurs, sous forme d'injections ou de comprimés et granulés, qui se font par cure, et permettent de ralentir l'évolution de l'arthrose et de réduire également la douleur, en synergie avec les anti-inflammatoires.
Les traitements chirurgicaux sont nombreux, et leur choix doit être fait pour chaque chien, en fonction de l'individu, de son état de santé et de l'étendu de son problème. Présentation:
La Résection de la Tête et du Col du Fémur ou RTCF: le vétérinaire retire la tête et le col du fémur. L'articulation de la hanche n'existe alors plus, et le membre est maintenu en place par les muscles. Cette intervention est très répandue et ne pose pas de problèmes par la suite; le chien retrouve une bonne mobilité. Elle doit être pratiquée chez des animaux pas trop lourds et bien musclés (fessiers). On peut opérer la deuxième hanche si besoin, quand la récupération est bonne sur l'autre côté.
La Triple Ostéotomie du Bassin ou TOB: le vétérinaire découpe les os du bassin afin de remettre en place la tête du fémur dans sa cavité d'accueil (cavité glénoïde du bassin).
Cette opération permet de recréer une articulation correcte.
Elle ne supprimera pas l'arthrose, et ne doit donc être pratiquée que pour des animaux qui en sont exempts.
La prothèse de hanche : c'est une intervention encore peu pratiquée par les vétérinaires étant donné son coût élevé. C'est évidemment la solution idéale puisqu'on recréer une articulation parfaite de la hanche. La récupération est immédiate et les soins post-opératoires limités.
La myotomie des pectinés : les pectinés sont des petits muscles en forme de poire situé dans l'angle interne de la cuisse, au niveau de l'aine. Ces muscles sont parfois contracturés en permanence durant l'évolution de la maladie, car ils sont très sollicités. Il convient donc, dans certains cas, de les couper afin de soulager l'animal.
La dénervation de la capsule articulaire : elle consiste à supprimer toutes les efférences nerveuses sensitives provenant de la capsule articulaire. L'articulation perd alors toute sa sensibilité et le chien ne ressent donc plus la douleur due à l'arthrose. Cette technique, bien rodée par nos voisins allemands, est encore à l'étude en France.

Les recours légaux
La dysplasie de la hanche est inscrite sur la liste des vices rédhibitoires du chien (voir la Fiche Santé sur «Les vices rédhibitoires du chien» ). Cette inscription permet à l'acheteur de se faire rembourser intégralement le chien s'il a été vendu avec ce vice caché.
Toutefois, en aucun cas le vendeur n'est tenu de rembourser les frais de traitement occasionnés par la maladie s'ils ont été pratiqués sans son accord.
De plus, le délai légal pour assigner le vendeur en justice, au tribunal d'instance, est de trente jours francs après livraison de l'animal. Etant donné l'âge d'achat d'un animal (deux mois environ) et le développement souvent tardif des signes de la maladie, il est rare de pouvoir intenter une action en justice pour ce motif.
Les seuls recours légaux passés ce délai d'un mois sont en théorie la nullité de vente fondée soit sur une erreur de la qualité substantielle de l'animal acheté (le chien ne correspond pas à l'utilisation qu'on voulait en faire, si tant est qu'elle ait été précisée lors de l'achat), soit sur le dol (vente d'un objet présentant un défaut en toute connaissance de cause : encore faut-il le prouver !).
Dans tous les cas, l'idéal est de parvenir à un accord amiable en contactant l'éleveur. D'autant que tout ce que vous pouvez obtenir légalement en ayant recours à ces différentes actions en justice est le remboursement du chien, en échange de sa restitution; et il n'est pas facile de rendre un animal avec lequel on vit depuis parfois longtemps.
Par ailleurs, les éleveurs font beaucoup d'efforts aujourd'hui pour lutter contre cette maladie qui touche de plus en plus de race et d'individus parmi ces races. Ils sont donc très attentifs et intéressés par le devenir de leurs animaux et la qualité de leurs reproducteurs vis-à-vis de ce vice.

Conclusion
La dysplasie de la hanche est une maladie très répandue chez de nombreuses races de chien. Elle est héréditaire, mais son mode de transmission très complexe ne permet pas de l'éradiquer facilement malgré les efforts des cynophiles.
De plus, il est clair que des facteurs d'environnement et d'alimentation interviennent dans le développement de ce trouble, comme pour la plupart des troubles de la croissance chez les chiens de grande race.
Les symptômes qu'elle entraîne sont liés à l'apparition d'arthrose plus ou moins importante et précoce. Il existe plusieurs possibilités thérapeutiques qui doivent être discutées avec votre vétérinaire.
source: chien.com
 

 
 
 
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